Présentation de Laura Pelletier

Je suis Laura Pelletier, une finissante en Arts et Lettres profil Communication, qui passe son temps à courir les événements culturels et à vouloir découvrir de la nouveauté. J'aime toutes les formes d'art, qu'on parle de danse contemporaine, de théâtre, de cinéma ou d'arts visuels et je me régale plus particulièrement des types d'art plus inusités ou considérés comme "underground".

 Étant très pro-Québec et valorisant les artistes d'ici, peut-être me sentirai-je spécialement attachée à la vie culturelle japonaise, qui semble débordante d'originalité! Je m'intéresse aussi aux diverses formes de médias comme les médias écrits, télévisuels, radiophoniques et les médias en ligne; j'étais donc très excitée lorsque j'ai appris que nous allions tenir un blogue! J'aime rencontrer des gens et découvrir de nouvelles cultures. Ce voyage  au Japon est mon premier GRAND voyage, comme on pourrait l'appeler, et ce sera probablement aussi mon voyage le plus enrichissant. J'ai hâte de m'incruster dans le mode de vie des Japonais pour découvrir leurs traditions et leur culture. Je suis également bien énervée à l'idée de pourchasser les Harajuku girls...!

Je tenterai de vous faire part le plus fidèlement possible des curiosités japonaises, de tout ce qui, dans la façon de vivre des Japonais, peut marquer de façon vive (ou simplement traumatiser) les Occidentaux de ce monde. Le tout sera probablement accompagné de brèves capsules qui seront parfois sérieuses, parfois humoristiques, et parfois même indescriptibles.

Par Laura Pelletier

Présentation d'Élise Provencher

« Dis, Élise, tu te souviens des films d’Aladdin? Je les avais tous en cassettes!
-Bah, non, mais j’avais toute la série de livres par contre. »
Depuis, l’amour pour la lecture ne m’a jamais quittée.  Je me suis laissée porter à travers le flot de pages qui défilaient devant mes yeux et en m’immergeant à l’intérieur de chacun de leurs univers.  Aladdin m’a fait faire un tour sur son tapis magique, j’ai accompagné Sophie dans ses malheurs et, aujourd’hui, Murakami me guide au travers les rues animées et pétillantes du Shinjuku.   

Mon errance sans fin à travers les mots me permet non seulement de rêver, mais également  de mieux saisir les mécanismes complexes qui régissent le  monde et ce, beaucoup mieux qu’avec tout autre média.  C’est comme si, à chaque lecture, le Grand Horloger me révèle une partie sombre de ses plans et ses croquis.  

De nature introvertie et timide,  j’ai longtemps éprouvé une certaine appréhension pour l’écriture. Je refusais catégoriquement de révéler à quiconque  le contenu de mes pensées. Les mots ont toujours glissé avec facilité sous mon regard, mais semblaient difficilement couler de la pointe de mon crayon.  C’est comme si je craignais ce qui se cachait dans les profonds replis de mon imagination. L’écriture est donc un domaine que j’apprivoise depuis seulement quelque temps. Elle se révèle maintenant à moi comme le catalyseur de mes réflexions et de mes aspirations. 

Les lacunes cinématographiques de mon enfance ont rapidement été comblées dès le début de mon adolescence. Les sons et les images de Kubrick, de Lynch, de Coppola, de Scorcese, de Burton, de Tarantino, de Hitchcock, de Allen, de Bergman et de bien d’autres génies du septième art sont venus percuter mon imagination.  J’ai également dû ressortir le VHS des boules à mites afin de savourer le talent de Disney!

Par Élise Provencher